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dc.contributor.author Dupuis, Michel
dc.date.accessioned 2021-02-19T14:57:12Z
dc.date.available 2021-02-19T14:57:12Z
dc.date.issued 2012
dc.identifier.citation DUPUIS, Michel. Osteites et osteoarthritis. In: Sănătate Publică, Economie şi Management în Medicină. 2012, nr. 4(43), pp. 153-154. ISSN 1729-8687. fr
dc.identifier.issn 1729-8687
dc.identifier.uri http://revistaspemm.md/wp-content/uploads/2019/05/cm4_43_2012.pdf
dc.identifier.uri http://repository.usmf.md/handle/20.500.12710/15677
dc.description CHU Strasbourg (France) fr
dc.description.abstract Une grande part de l’infection de l’appareil locomoteur est représentée par l’infection de l’os (ostéite) et des articulations (arthrite, ostéoarthrite). Même si dans la majorité des cas il s’agit de la conséquence d’affections d’évolution parfois lente ou torpide, leur prise en charge relève de l’urgence : - urgence clinique, car elles peuvent s’inscrire dans un contexte aigu voire vital - urgence thérapeutique, car l’imagerie doit souvent guider le geste qui permettra de confirmer le diagnostic et de soulager le patient. Les ostéites et ostéomyélites sont habituellement hématogènes, en dehors d’une «porte d’entrée» accidentelle (traumatisme) ou chirurgicale (iatrogène). Les caractéristiques sémiologiques sont rappelées dans cette présentation en insistant sur les éléments distinctifs des lésions tumorales ou pseudo tumorales. Le recours aux techniques d’imagerie en coupes (scanner, IRM) est souhaitable à la fois pour le diagnostic mais surtout pour apprécier l’extension des lésions. Les ostéoarthrites constituent une forme d’ostéite étendue à l’espace articulaire. Leur pronostic peut être redoutable car les éléments constitutifs de l’articulation (cartilage hyalin, fibrocartilage, synoviale) sont particulièrement vulnérables. Les arthrites isolées proviennent de la pénétration accidentelle d’agents microbiens dans l’espace articulaire. La clinique, indicatrice est bruyante ou trompeuse masquée parfois par un terrain favorisant (pathologie intriquée, diabète, neuropathie…). Les moyens diagnostics passent par une reconnaissance rapide sur des arguments d’imagerie conventionnelle, radiologie standard, ou d’opportunité à l’occasion d’autres explorations telle que le scanner ou l’IRM. Il convient néanmoins de ne pas méconnaitre les premiers signes: atteinte structurelle de l’os haversien, réaction périostée, ostéolyse discrète. L’analyse des parties molles est essentielle. L’indication à poursuivre par une imagerie en coupes, scanner ou IRM, est primordiale et le recours à l’injection de produits de contraste iodé peut faciliter grandement l’analyse des formations abcédées. L’imagerie doit être également interventionnelle: confirmation diagnostique par ponction sous contrôle radioscopique, ponction sous scanner. Le recueil d’un liquide suspect, purulent ou hématique est capital pour l’identification du germe. Les conditions de prélèvement et de transmission doivent être prévues, protocolées et efficaces. Enfin l’imagerie ne doit pas retarder la décision thérapeutique. En conclusion, la sémiologie d’imagerie doit être raisonnée: radiologie conventionnelle, scanner avec injection, IRM si possible même si habituellement une bonne exploration scannographique suffit. Le geste interventionnel (identification du germe, drainage) d’une cavité ou articulation sous tension est également important. fr
dc.language.iso fr en_US
dc.publisher Asociația Obștească "Economie, Management și Psihologie în Medicină" en_US
dc.relation.ispartof Sănătate Publică, Economie și Management în Medicină: Congresul al III-lea al medicilor-imagiști din Republica Moldova cu participare internaţională "Actualităţi în imagistica medicală", 26–28 septembrie 2012, Chişinău, Republica Moldova ro
dc.title Osteites et osteoarthrites fr
dc.type Other en_US


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